الاثنين، 1 فبراير 2016

La Fibromyalgie, c'est l'aluminium, point final !

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La fibromyalgie est en relation directe avec la myofascite à macrophage déclenchée par les adjuvants à l’aluminium des vaccins. Cet axe de recherche n'est pourtant pas exploré par la médecine officielle.  Pas plus que deux nouvelles pistes qui mettent, elles aussi, en cause l'action délétère de certains médicaments comme les benzodiazépines (antidépresseurs) ou une classe extrèmement répandue d'antibiotiques.

Ce trouble douloureux aux multiples aspects n’est pas reconnu par la médecine en tant que maladie – ceci probablement pour deux raisons :
  • Parce que la médecine officielle est incapable de soigner la fibromyalgie,
  • Parce que cette même médecine en est souvent l’origine par le biais des vaccinations. Mais elle peut survenir aussi par accumulation au long court d’aluminium alimentaire et même de l’eau du robinet.

Les symptômes possibles

  • douleurs aiguës terribles dans les grosses et petites articulations,
  • douleurs dorsales aiguës ainsi que dans les épaules et le cou,
  • crampes musculaires terribles surtout dans les mollets,
  • perte de sommeil,
  • perte de tonus,
  • baisse de la vue,
  • souvent prise de poids par rétention d’eau (mal mesurée par l'IMC),
  • déprime (on vous classe dans la dépression simple)

Les faux diagnostics

Chacun des spécialistes essaie de ramener les causes des troubles à son propre domaine, à sa propre spécialité, soit par opportunisme, soit par étroitesse de vue. Par exemple, n’écoutez pas certains spécialistes qui rattachent vos problèmes de fibromyalgie à une malocclusion dentaire, car il s’agit d’une intoxication neurologique à l’aluminium.

Au niveau de la médecine conventionnelle, il y a souvent confusion entre la spondylarthrite ankylosante (SPA), la polyarthrite évolutive (PE) et la fibromialgie.
Dans la SPA, on souffre du dos et des grosses articulations. Une véritable SPA est formellement identifiée par le test HLA B27. Il est évident qu’une alimentation non polluante est indispensable pour que les fermentations intestinales ne détruisent pas la première barrière de défenses. Lorsqu’il n’y a pas de trace radiologique et que le test HLA est négatif, on la classe SPA séronégative. La SPA entraîne généralement une destruction des os du bas du dos assez rapide.
Dans la PE, on souffre des petites et grosses articulations mais pas du dos. Les articulations sont rouges et enflées. Il y a des déformations au contrôle radiologique au bout de 7 à 10 années. À noter que le test de discrimination au HLA B27 n’est pratiquement jamais effectué.

Dans la fibromyalgie, il n’y a pas de rougeurs articulaires, mais il y a gonflement de l’ensemble du corps et le tableau décrit plus haut sans destruction osseuse.
Les processus métaboliques

Rares sont ceux qui savent que l’aluminium piège et se lie avec l’indispensable ferritine.
Le taux de ferritine est toujours très bas chez tous les intoxiqués à l’aluminium. Il y a une chute de fer au niveau du foie, créant la fatigue chronique.
Mais il y a de plus, deux neurotransmetteurs d’une importance capitale qui sont piégés et neutralisés par l’aluminium : la sérotonine et l’acétylcholine.

La baisse de sérotonine se manifeste par une dépression importante, de gros troubles du sommeil, une baisse de sécrétion des endorphines entraînant une augmentation des douleurs, des troubles digestifs importants, des troubles de la mémoire, une mauvaise circulation.

• La baisse de l’acétylcholine entraîne une grande faiblesse musculaire. On n’arrive plus à monter les escaliers ni à lever les bras. Ensuite, on ne peut plus tenir debout.
Il y a en plus un risque d’atteinte grave au foie.

• Enfin, la thyroïde est perturbée par la pénétration de l’aluminium dans ses tissus qui aboutit le plus souvent à une hyperthyroïdie, mais parfois à une hypothyroïdie.

Les traitements

Le protocole classique de la fibromyalgie : corticoïdes, antidépresseurs. L’aluminium est ignoré ! La dépollution encore plus….. Résultat catastrophique. On devient une épave !

Cinq actions sont nécessaires :
  • Soulager les douleurs (au choix ou en association)
    - Lavements au café (voir dans la cure Gerson)
    - 5-http (Griffonia simplicifolia) : Prendre 1 capsule à jeun au lever et au coucher estomac vide.
  • Restaurer les cellules nerveuses, qui sont essentiellement constituées de complexes lipidiques (l'une ou l'autre de ces huiles au choix ou en association) :
Prendre 5 cuil. à soupe par jour.
  • Manger sain. Il faut absolument adopter une alimentation hypotoxique ou, au moins, une alimentation bio pour ne pas ajouter du poison au poison.
  • Retrouver de l'énergie : lire notre article sur l'emploi du D-Ribose dans la fibromyalgie
  • Eliminer l’aluminium
Silice de prêle ou silicium organique
Prendre 3 bouchons par jour.
Nota : j’ai exposé dans un article concernant la maladie d’Alzheimer que suite à des études de laboratoires indépendants, la silice s’avère capable d’absorber et évacuer l’aluminium même celui qui a passé la barrière encéphalique.
Pour encore plus de précisions sur ces traitements lisez cet autre article

L'adjuvant aluminique et la myofasciite

A l’heure actuelle, l’adjuvant le plus fréquemment utilisé en médecine est l’aluminium. Suite à une injection de sels d’aluminium (comme pour la vaccination), des molécules sont libérées du fait de cette agression cellulaire, par exemple l’acide urique. De fortes concentrations d’acide urique sous forme de cristaux d’urate de monosodium sont phagocytées par les cellules résidentes et déstabilisent les fonctions des lysosomes.
Les adjuvants procurent aussi une protection physique contre les antigènes et contribuent à la translocation des antigènes vers les ganglions lymphatiques régionaux. Ceci va permettre en définitive une plus longue exposition du système immunitaire aux antigènes, une production et une activation accrue des cellules B et T, ainsi qu’une réaction plus forte.
Auparavant, on pensait que les adjuvants ne présentaient que peu ou pas de danger particulier. Malheureusement, des études sur des modèles animaux et des humains ont démontré la capacité qu’ont par eux- mêmes certains d’entre eux de déclencher la réponse auto-immune et des maladies dysimmunitaires.
La maladie post-vaccinale la plus étudiée est peut-être le syndrome de myofasciite à macrophages (MMF),  pour lequel un lien de cause à effet a été clairement établi.
La MMF est une maladie du système immunitaire  signalée pour la première fois en France par Gherardi et al (publication dans The Lancet)
Elle est provoquée par un dépôt d’aluminium,  utilisé comme adjuvant dans différents vaccins, ce qui déclenche une maladie musculaire liée au système  immunitaire. La MMF est caractérisée par des signes et des symptômes systémiques, ainsi que des lésions actives localisées sur le site  de l’injection.
Les manifestations systémiques incluent myalgie, arthralgie,  asthénie marquée, faiblesse musculaire, fatigue chronique, fièvre, et dans certains cas l’apparition d’une affection  démyélinisante.Tous ces symptômes sont évidemment très proches de ceux qui caractérisent la fibromyalgie.
On a découvert que la lésion locale de la MMF résultait d’une persistance de l’adjuvant aluminique sur le site de l’injection plusieurs mois, voire jusqu’à 8  à 10 ans après la vaccination
Curieusement, il existe une certaine contradiction entre l’usage à grande échelle de  l’hydroxyde d’aluminium et la rareté de la MMF. Cette incohérence a été résolue par les observations montrant  que la MMF pourrait apparaître principalement chez les sujets génétiquement prédisposés porteurs du gène HLA - DRB1*01.
Cette relation a été décrite pour la première fois chez deux vraies soeurs jumelles diagnostiquées avec  la MMF. De plus, ce même gène a été détecté chez 66% de 9 patients atteints de la MMF, contre 17% des 230  individus - contrôles, ce qui suggère un rapport de 9.8 (95% intervalle de certitude 2.0 - 62.2). Ceci corrobore  l’idée selon laquelle, chez une minorité de patients génétiquement prédisposés, l’aluminium peut provoquer ce  syndrome.
Cette limitation vaut pour la myofascite, mais cela vaut-il pour la fibromyalgie ?

Les Benzodiazépines : une autre piste que vous devriez explorer

Pour le Dr Lallemand, médecin retraité, l’explosion du syndrome de la fibromyalgie a correspondu au départ de l'utilisation massive des benzodiazépines. Qui n’a jamais pris sans le savoir l’une des multiples formes de cette molécule ? Bien sûr, ce ne sont pas des prises sporadiques qui peuvent engendrer la fibromyalgie, et fort heureusement, tout le monde ne gagne pas forcément le « jackpot», mais voyez plutôt la liste redondante des applications courantes des benzodiazépines.
Regardez bien s’il n’y a pas dans la liste ci-dessous, un médicament qui vous soit familier ou habituel. Si c'est le cas, le meilleur conseil que nous puissions vous donner est d'essayer de vous sevrer :
  • Benzodiazépines anxiolytiques
    Vératran ® Séresta ® Xanax ® Alprazolam ® Témesta ® Lorazépam ® Equitam ® Lexomil ® Anyrex ® Bromazépam ® Valium ® Tranxène ® Urbanyl ® Lysanxia ® Nordaz ® 
    Victan ®, Quiétéline ®, Novazam ®, Diazemuls ®.
    Génériques : Bromazepam, Prazepam, Diazepam 
  • Benzodiazépines hypnotiques (appelés somnifères)
    Mogadon ® Noctamide ® Rohypnol ® Normison ® Havlane ® Nuctalon ® Rivotril ® 
  • Hypnotiques apparentés aux benzodiazépines
    Imovane ® Stilnox ® Zolpidem ® Mogadon ® Rohypnol ®, Narcozep ®
  • Benzodiazépines myorelaxants
    Les benzodiazépines myorelaxants sont prescrits lors de contractions survenant dans certaines pathologies rhumatismales. Ces molécules se fixent électivement dans les muscles et les tendons. Myolastan ® Panos ®
    Benzodiazépines anticonvulsivants
    Rivotril ® Valium ® Urbanyl ®

Une dernière hypothèse : les quinolones


Les quinolones sont une classe d’antibiotiques que votre généraliste peut vous prescrire pour une banale infection urinaire. Mais cette prescription - qui parait anodine - peut vous envoyer dans l’enfer de la fibromyalgie.

Une lectrice nous écrit :
« Je suis victime des quinolones. Mon généraliste m'a prescrit du CIFLOX pour une infection urinaire sans mise en garde particulière, et j'ai été empoisonnée par ce médicament ; je me retrouve depuis plusieurs mois (avril 2014) avec un lourd handicap. Je ne peux plus marcher sans douleurs invalidantes dans les talons, j'ai perdu 6 kg, le port de béquilles m'a été nécessaire pendant 6 semaines. J'ai mal dans toutes les articulations, sans compter une importante chute de cheveux, saignements de gencives, insomnies importantes.
J'ai consulté plusieurs spécialistes qui ont reconnu mon empoisonnement au CIFLOX mais ne proposent aucun traitement. Selon eux, il n'existe pas d'antidote. »
Chaque année en France, 17 millions de quinolones sont prescrites, et autour de 24 000 personnes sont touchées par le médicament ; certaines resteront handicapées à vie dans le déni le plus total des autorités sanitaires !
Aux USA, des procès fleurissent alors qu’en France, les victimes commencent seulement à se regrouper pour porter plainte.
L’association des invalides victimes des Quinolones (AIVQ) a été créée par Eric Bourhis pour prévenir les gens de la dangerosité de cette classe d’antibiotiques. Cette association a remplacé une précédente, l’AVQ, qui avait subi de terribles pressions d’intimidation, (menaces et envoi postaux de petits cercueils au président…)
Dans une interview de mai 2014, Eric Bourhis déclarait :
« Depuis 7 ans, mes douleurs ne me lâchent pas, même la nuit, je n’ai plus de force dans les bras et dans les jambes, et je suis devenu allergique au soleil – je ne souhaite cela à personne .
Les expertises sont aux frais des victimes ; les procédures trainent pour décourager les plaignants, à qui l’on répond que la balance bénéfices/ risques des Quinolones est tellement favorable que l’on ne prend pas en compte les quelques risques. (Et tant pis pour celui sur qui çà tombe !…)
A savoir qu’il y a maintenant une seconde génération de Quinolones qui sont les Fluoquinolones, sans compter les génériques qui noient le poisson. »
Liste des antibiotiques concernés :
• Apurone
• Avelox
• Ciflox
• Ciloxadex
• Ciprofloxacine Teva
• Ciprofloxacine Accord
• Ciprofloxacine Actavis
• Ciprofloxacine Aguettant
• Ciprofloxacine Almus
• Ciprofloxacine Alter
• Ciprofloxacine Arrow
• Ciprofloxacine Biogaran
• Ciprofloxacine Dakota Pharm
• Ciprofloxacine Eg
• Ciprofloxacine G Gam
• Ciprofloxacine Gnr
• Ciprofloxacine Irex
• Ciprofloxacine Ivax
• Ciprofloxacine Kabi
• Ciprofloxacine Macopharma
• Ciprofloxacine Mylan
• Ciprofloxacine Mylan Pharma
• Ciprofloxacine Panpharma
• Ciprofloxacine Pfizer
• Ciprofloxacine Qualimed
• Ciprofloxacine Ranbaxy
• Ciprofloxacine Ratiopharm
• Ciprofloxacine Sandoz
• Ciprofloxacine Teva
• Ciprofloxacine Winthrop
• Ciprofloxacine Zydus
• Decalogiflox
• Enoxor
• Izilox
• Izilox 400mg/250ml Perf Iv Fl
• Levofloxacine Accord Health
• Levofloxacine Actavis
• Levofloxacine Almus
• Levofloxacine Arrow
• Levofloxacine Biogaran
• Levofloxacine Bluefish
• Levofloxacine Cristers
• Levofloxacine Eg
• Levofloxacine Evolugen
• Levofloxacine Hospira
• Levofloxacine Isomed
• Levofloxacine Kabi
• Levofloxacine Mylan
• Levofloxacine Phr Lab
• Levofloxacine Ranbaxy
• Levofloxacine Ratiopharm
• Levofloxacine Sandoz
• Levofloxacine Teva
• Levofloxacine Zentiva
• Levofloxacine Zydus
• Logiflox
• Monoflocet
• Moxifloxacine Eg
• Moxifloxacine Sandoz
• Negram
• Negram Forte Adulte
• Norfloxacine Arrow
• Norfloxacine Biogaran
• Norfloxacine Cristers
• Norfloxacine Eg
• Norfloxacine Gnr
• Norfloxacine Irex
• Norfloxacine Mylan
• Norfloxacine Qualimed
• Norfloxacine Ranbaxy
• Norfloxacine Ratiopharm
• Norfloxacine Sandoz
• Norfloxacine Teva
• Norfloxacine Winthrop
• Noroxine
• Ofloxacine Aguettant
• Ofloxacine Almus
• Ofloxacine Arrow
• Ofloxacine Biogaran
• Ofloxacine Eg
• Ofloxacine Evolugen
• Ofloxacine G Gam
• Ofloxacine Ivax
• Ofloxacine Macopharma
• Ofloxacine Mylan
• Ofloxacine Mylan Pharma
• Ofloxacine Pfizer
• Ofloxacine Qualimed
• Ofloxacine Ranbaxy
• Ofloxacine Ratiopharm
• Ofloxacine Rpg
• Ofloxacine Sandoz
• Ofloxacine Teva
• Ofloxacine Winthrop
• Peflacine
• Peflacine Monodose
• Pipram Fort
• Tavanic
• Uniflox

Si vous soupçonnez les quinolones

Trois actions sont nécessaires :

1 - Soulager rapidement les douleurs (au choix ou en association)
- Zappeur MZ6 – 1 séance par jour – Commande de l’appareil : flallemand03@aol.com
ou
- Lavements au café - voir dans la cure Gerson (téléchargeable gratuitement sur le site www.micheldogna.fr).

2 – Eliminer les drogues (en particulier la trace des antibiotiques)
-    Quinton isotonique – 1ampoule matin et soir

3 – Eliminer l’aluminium
-    Silice de prêle – 3 bouchons par jour
Vous êtes concerné(e) par la fibromyalgie ? Lisez nos autres articles sur le sujet et découvrez les autres pistes de traitement naturel de cette affection :
Fibromyalgie et fatigue chronique, esssayez le D-ribose
Fibromyalgie : mais non, vous n'êtes pas folle

Références :
Gherardi RK, Coquet M, Cherin P, Authier FJ, Laforet P, Belec L, et al. Macrophagic myofasciitis:  an emerging entity. Groupe d’Etudes et Recherche sur les Maladies Musculaires Acquises et Dysimmunitaires (GERMMAD) de l’AssociationFrancaise contreles Myopathies (AFM). Lancet 1998;352:347e52.
Gherardi RK, Coquet M, Cherin P, Belec L, Moretto P, Dreyfus PA, et al. Macrophagic myofasciitis lesions assess long-term persistence of vaccinederived aluminium hydroxide in muscle. Brain 2001 Sep;124(Pt 9):1821e31.
Exley C, Swarbrick L, Gherardi RK, Authier FJ. A role for the body burden of aluminium in vaccine-associated macrophagic myofasciitis and chronic fatigue syndrome. Med Hypotheses 2009 Feb;72(2):135e9.

Pourquoi des milliers de gens utilisent-ils le silicium G5 illégalement ?

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Si vous avez cherché un jour à vous procurer du Silicium organique G5, ce produit mythique de la médecine naturelle, vous avez sans doute trouvé dans les boutiques bio une dizaine de marques faisant référence au silicium ou à la silice organique Mais le silicium G5 original n'était pas là ! Je parle du G5 à base de monométhysilanetriol popularisé par Loïc Le Ribault. C'est ce silicium que des centaines de milliers de personnes dans le monde consomment en en buvant chaque jour une petite dose. C'est le cas notamment aux USA (où il est buvable, conformément à la réglementation FDA) ainsi qu'en Afrique du Sud ou à Hong Kong. En Europe, c'est différent... En 2010, la Commission Européenne l'a interdit en tant que complément alimentaire, validant simplement son utilisation en tant que cosmétique. En clair : il doit exclusivement s'utiliser par voie externe. Ce Silicium G5 là, je le constate, se vend toujours... sous le manteau, ou presque...

Loïc le Ribault n'est pas mort

« Le véritable G5 », « formule originale », les mentions et références renvoyant à la découverte du chercheur décédé en 2007 s'affichent allègrement sur les bouteilles, parfois avec sa photo. L'icône est bien vivante, sa marque imprègne le marché. Un rapide coup d'oeil sur les forums spécialisés dans les médecines naturelles confirment ce que nous savons déjà à Alternative Santé au vu des courriers que nous recevons : les consommateurs ne savent plus à quel Saint se vouer devant la qualité inégale des produits et devant toutes les imitations. Et ceux qui décident d'opter pour la formule originale de Le Ribault se demandent où la trouver. Répondons-leur tout de suite : il y a deux sources "officielles" du silicium G5 original de Loïc le ribault (vous les trouverez un peu plus bas dans l'article). Notons bien que des centaines de médecins ou thérapeutes conseillent aussi ce produit à leurs patients, parfois les yeux fermés tant on prête de vertus à ce qui a été qualifié de « panacée »?

Qui a vraiment inventé le silicium organique ?

Il s'agit d'un chimiste de l'université de Bordeaux, Norbert Duffaut. Il y a plus de 50 ans. C'est lui qui synthétisa pour la première fois, en 1957, une molécule de silice organique. Ceux qui ont connu Duffot gardent de lui le souvenir d'un homme intègre, dévoué à la recherche de remèdes utiles. De fait, beaucoup de personnes ont utilisé le DNR (son nom commercial) en compresses pour traiter avec succès des rhumatismes ou des douleurs d'arthrose, la solution traversant la peau et les tissus pour aller déposer son principe actif à la source du mal.

Un découvreur qui restera incompris

Au début de 1958, Duffaut rencontre le Dr Janet, spécialiste de gastro-entérologie. Ensemble, ils vont effectuer de nombreuses applications de DNR dans le traitement de maladies cardiovasculaires, de rhumatismes et même de cancers. Puis il collabore avec le Dr Rager, qui sera récompensé par l'Académie de Médecine pour ses travaux sur l'utilisation des organo-siliciés en thérapeutique.
Néanmoins, malgré d'innombrables démarches, malgré de nombreux articles témoignant des bienfaits du DNR dans des revues spécialisées, malgré la mise au point de deux médicaments à base de silicium organique au début des années 70 , Duffaut se heurtera à l'indifférence des autorités françaises de santé publique.
Finalement, il ne réussira jamais à faire tester le DNR qui, pourtant, lui permettait d'observer des résultats spéctaculaires qu'il décrit dans son livre "Les tribulations d'un découvreur non reconnu" dont voici quelques extraits :
Le cancer du poumon et du pancréas
«Dans plus de deux cents cas, nous avions observé une évolution bien plus favorable avec le silicium qu'il était permis de pronostiquer, ainsi que le caractère durable des résultats obtenus dans 90 % des cas et une amélioration de l'état général des patients, et ce avec un recul de plus de dix ans.
Nous avions observé également que dans plus de 90 % des cas, le D.N.R. permettait d'obtenir des résultats satisfaisants pour le traitement du cancer du pancréas. »
Le traitement des angines de poitrine, des infarctus du myocarde et des artérites des membres inférieurs.
« Les premiers essais (avec la silice organique - NDLR) furent de vrais triomphes ; mes espérances les plus optimistes furent dépassées. La capacité du silicium organique à alléger la souffrance humaine dépassa de loin celui des grands médecins.. »


Le taux de cholestérol
« Le taux avait tendance à baisser, mais ce n'était pas l'idéal. Aussi, un jour, je fis appliquer des compresses de D.N.R. au niveau du foie.
Nos espérances furent dépassées : la teneur en cholestérol passait de 3,5 à 2 grammes par litre en un mois. Je craignais une erreur d'analyse, aussi je fis tester cette technique sur une centaine de cas. Les résultats furent reproductibles : la méthode était au point. Je l'ai indiquée à de nombreux médecins ».
L'hypertension
« Mais quand j'associai (à la silice organique - NDLR) le chlorure de magnésium à celui-ci par application de compresses sur les poignets et les coudes, les résultats furent mirifiques ».
L'hépatite virale
« Beaucoup plus tard, en 1976, je m'aperçus que l'hépatite à virus pouvait être traitée de manière efficace et rapide, en appliquant une simple compresse de D.N.R. sur le foie du malade pendant quelques jours. »
Les mastoses
« Nous constatâmes que de simples applications locales permettaient de faire disparaître totalement les chapelets de mastoses en deux à six mois de traitement. Il ne s'agissait pas d'une stabilisation, mais bien d'une disparition totale de cette affection. Chacun de notre côté, nous l'avions vérifié sur un millier de cas. »
Les virus
« Par expériences innombrables, nous avons constaté que l'herpès labial, l'herpès oculaire et l'herpès génital étaient terrassés en quelques heures. Les psoriasis vieux de vingt-cinq ans étaient guéris en moins d'une semaine, ainsi que les aphtes de la bouche.
De nombreuses autres affections virales, telles que la grippe ou les oreillons, très fréquentes chez l'enfant et l'adulte, étaient également vaincues. Jusqu'à ce jour, les possibilités médicales employées étaient risibles : rester au lit, pour éviter les complications ».
Tendinite
« Dès le début, le D.N.R. a été utilisé par les sportifs. Le coureur qui tordait sa cheville, le joueur de tennis qui souffrait de tennis elbow ou le sportif affecté d'une tendinite faisaient appel à lui. Une simple application locale du silicium faisait disparaître la douleur ainsi que sa cause.
Le plus grand succès fut obtenu avec les tendinites. »
malgré son enthousiasme, il mourra sans avoir obtenu la reconnaissance de sa découverte.
Ce qui n'échappera pas à Loïc le Ribault qui « sauvera » l'oeuvre de Duffaut...

Le grain de sable de l'histoire

Géologue, docteur ès science, docteur en sédimentologie, Loïc Le Ribault, lui, s'est fait connaître dans les années 70 en étudiant les grains de sable. Grâce au microscope électronique à balayage (MEB), ce Breton mit au point une méthode permettant de déterminer l'histoire géologique des grains de sable .
Dans ses articles publiés en 1972 à l'Académie des Sciences, Le Ribault, du haut de ses 25 ans, démontre que certains cristaux de quartz portent à leur surface une pellicule de silice amorphe soluble dans l'eau. Trois ans plus tard, il met au point un procédé permettant de récolter des solutions d'organo-siliciés. C'est au cours de ces expériences qu'il découvre fortuitement l'efficacité thérapeutique de ceux-ci.
La légende veut que Le Ribault ait souffert à l'époque d'un psoriasis tenace qui affecte ses deux mains : il malaxe de la main une solution très riche en silicium organique extraite des sables pour l'étudier au MEB. Deux jours plus tard, il constate avec surprise que le psoriasis a totalement disparu sur sa main. Jusqu'en 1982, il étudiera donc le rôle du silicium dans le traitement des affections cutanées.

La création du G4, petit frère du G5

En 1982, Loïc Le Ribault rencontre le talentueux Duffaut lors d'une rencontre scientifique à Bordeaux. Les deux chercheurs décident de poursuivre ensemble leurs travaux sur les applications thérapeutiques des organo-siliciés. L'année suivante, leur collaboration aboutit à la mise au point d'une molécule de synthèse intéressante dans le traitement des affections virales, molécule obtenue grâce à l'adjonction d'hyposulfite de sodium : c'est le « G4 », encore appelé DNV. Les deux hommes vont continuer d'innover, de faire des centaines de tests, de solliciter les autorités. En vain on l'a vu. Entre-temps, le silicium organique deviendra rapidement un constituant essentiel de la plupart des cosmétiques.
Un chimiste, formulateur de produits cosmétiques et santé d’une grande marque nous confiait récement qu’il lui été demandé de glisser du silicium organique dans les produits anti-rides et dermo-reconstituants mais sans le mentionner dans la composition du produit. Cette pratique toucherait aussi, d’après lui, les produits destinés à lutter contre les problèmes dermatologiques.
Mais à l'époque, et depuis lors, Duffaut et Le Ribault n'obtiendront rien des grands de la cosmétique.

Une aventure riche en zones d'ombres

En novembre 1993, Norbert Duffaut est découvert mort dans son lit, empoisonné. La police conclut au suicide. L'homme n'aurait pas supporté le mépris et l'incompréhension des autorités scientifiques et médicales. Désormais seul, Loïc Le Ribault se lance à corps perdu dans la bataille et continue les travaux. Un an plus tard, il met au point le G5, un silicium organique buvable qu'il commercialise aussitôt. Le 8 octobre 1995, un article de Sud-Ouest met le feu aux poudres en provoquant la ruée du public sur le G5. Une chasse à l'homme va alors s'engager qui ne se terminera qu'en 2007, à la mort de Loïc Le Ribault, victime d'un cancer de la bouche. Ou d'un assassinat comme le pensent certains, à commencer par le Dr Marie-Hélène Groussac qui a écrit une lettre ouverte (lire ici) à la ministre de la Santé de l'époque, Roselyne Bachelot.

7 ans de cavale... pour échapper aux Ordres

Visé très rapidement par une plainte du conseil de l'Ordre des médecins et de celui des pharmaciens, poursuivi pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie et tromperie sur la marchandise, Le Ribault avait entamé en 1996, après 2 mois de détention provisoire, une folle cavale qui l'avait mené en Irlande via Jersey. Il lâchera plus tard son associé Luc Verardo (qui avait financé son affaire) dans des conditions troubles pour s'associer avec d'autres, en Espagne.
Ici et là, il poursuivait son business, vendait au prix fort (plus de 10 fois le prix du DNR que Duffaut, par ailleurs, donnait souvent gratuitement...), jonglait avec les techniques de vente à distance, alimentant le buzz autour de sa persécution : on se bousculait pour acheter du Silicium G5 sous le manteau. Alors qu'il se rendait en Suisse une énième fois fin 2003 pour ouvrir son propre centre de soins, il était arrêté à Genève et emprisonné le temps d'être extradé. En février 2004, il fut condamné à Bordeaux à un an de prison ferme avant d'être remis en liberté quelques semaines plus tard.

Un chercheur émérite et un homme irascible

Sous son allure de Professeur Nimbus rougeaud et un peu rondouillard, le père du G5 était à la fin de sa vie un homme fantasque, porté sur la boisson, irascible et difficile à vivre aux dires des personnes qui l'ont côtoyé et avec lesquelles il s'est souvent brouillé. Toujours prêt à bondir, il aura beaucoup écrit dans sa vie, des livres, mais aussi des lettres, toujours pleines de rancoeur et de menaces. Dans "Le prix d'une découverte, lettre à mon juge", publié à compte d'auteur en 1998, on peut lire ce passage qui résume assez bien sa manière d'être et de dire : « Avant que vous ne disparaissiez à jamais, insignifiante poussière enfouie dans les oubliettes de ma mémoire, je tenais à vous faire ce cadeau d'adieu : la véritable histoire d'un novateur dans une France corrompue en voie de décomposition avancée »?
L'histoire mouvementée du Silicium organique G5, qu'elle ait été voulue ou non, a de facto été payante. Eh oui : des dizaines de milliers de personnes boivent aujourd'hui ce liquide en toute illégalité et le silicium organique représente un chiffre d'affaires considérable (bien qu'invérifiable). Mais ce produit n'aurait jamais connu un tel succès si le produit ne présentait pas de vraies vertus, que ses consommateurs ont éprouvées et validées.

Entre 98 et 99% d'eau dans une bouteille ?

Dans le cadre des plaintes déposées contre Le Ribault, les experts, en 1997, faisaient remarquer que le G5 comportait « une très forte proportion d'eau (entre 98 et 99%) » alors qu'il était vendu à « des prix importants ». Et alors ? Le silicium, c'est effectivement beaucoup d'eau (purifiée) et un infime pourcentage de monométhysilanetriol. Certains estiment que seule une concentration à 0,02% est efficace. D'autres, défendent le contraire et proposent des concentrations, à diluer éventuellement, pouvant aller jusqu'à 0,07%. Aucune étude scientifique ne permet de les départager. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Boire du silicium, c'est avant tout donner une information essentielle à notre organisme.

Pourquoi nous avons besoin de silicium

  • Le silicium minéral est l'élément le plus abondant de la nature après l'oxygène.On en trouve environ 30% à la surface du globe terrestre. Dans le corps humain, c'est également un élément essentiel de la matière vivante avec le carbone, l'oxygène et l'hydrogène.
  • Le silicium est présent en quantités importantes dans la plupart des tissus organiques, le tissu osseux, et le tissu conjonctif. Sa concentration est supérieure à celle du fer ou du cuivre. Il potentialise notamment l'action du zinc et du cuivre et permet la fixation du calcium.
  • Mais la quantité de silicium diminue avec l'âge chez l'homme comme chez l'animal, de façon irréversible car l'organisme est incapable d'assimiler le silicium minéral qu'il ingère (dans les aliments, les boissons), il n'est pas capable non plus de le transformer en silicium organique.

Un remède universel ? Oui!

Les Aztèques, comme les Chinois, connaissaient les vertus curatives de la silice, leur médecine utilisant la poudre d'obsidienne ou de jade. Les nombreuses études menées, autant que les résultats empiriques observés avec le silicium, confirment son action à plusieurs niveaux :
- Le silicium joue un rôle prépondérant dans le métabolisme général de l'organisme : il intervient dans le processus de régénération des cellules en rétablissant l'équilibre ionique des cellules endommagées ou affaiblies et en relançant les échanges cellulaires.
- Il protège les os et les articulations : c'est une « brique » essentielle de l'os. Sa présence est indispensable à la synthèse des fibres d'élastine et de collagène or la calcification ne peut avoir lieu qu'en présence de collagène... Il sera utile en particulier pour les problèmes d'arthrose.
- Il protège la peau : élément constitutif de celle-ci, il contribue à son architecture et à son élasticité. C'est la carence en silicium qui provoque le desséchement de la peau et l'apparition de rides...  Il améliore aussi la qualité des ongles, des cheveux et des dents...
- Il protège le muscle cardiaque et le système circulatoire : partie intégrante des parois vasculaires, il agit indirectement sur la tension vasculaire, maintient l'intégrité des parois du coeur et protège les artères en favorisant leur imperméabilité aux substances lipidiques nocives du sang circulant...
- Il protège des radicaux libres et de l'oxydation : grâce à sa structure électromagnétique particulière, il est en constante recherche d'équilibre ionique, d'où cette activité antioxydante.
- Il accélère les processus de cicatrisation : son apport permet d'augmenter le taux en hydroxyproline, acide aminé essentiel au processus de cicatrisation.
- C'est un anti-inflammatoire puissant : de nombreux kinés l'emploient pour atténuer les douleurs telles que les tendinites, les contractures et douleurs articulaires.
- Il renforce les défenses immunitaires de l'organisme : il est en effet indispensable au processus de déclenchement de fabrication des antigènes et des anticorps.
Il fait tout, alors ? Me direz-vous.
Oui car une quantité impressionnante d'autres propriétés sont répertoriées, qui font du silicium un élément utile contre les douleurs articulaires mais aussi, par exemple, le diabète (le pancréas est particulièrement riche en sillicium). C'est aussi un élément idéal pour un convalescent. En résumé, le rôle de la silice dans le corps humain est tellement fondamental qu'il s'applique à une quantité innombrable de pathologies.

Ne pas confondre silice organique, silice végétale et silicium organique...

On trouve aujourd'hui sur le marché de nombreuses marques proposant du silicium d'origine végétale (à base de prêle, d'ortie...) ou de la silice organique parfois vendue comme du « silicium organique ». Il s'agit en fait de silice colloïdale. Celle-ci est formée de colloïdes (particules semi-minérales) en suspension dans l'eau. Elle est moins assimilable mais avec un taux d'environ 3% d'absorption, elle donne déjà des résultats thérapeutiques. Elle est de plus reconnue comme un produit alimentaire et donc autorisée par voie interne. Ces produits sont intéressants pour une complémentation de confort, d'autant qu'ils sont un peu moins coûteux que le silicium organique et souvent labellisés bio. 
L'inconvénient tient dans la posologie qui ne doit pas être trop importante eu égard à un risque de sédimentation au niveau des reins. Le silicium organique est, lui, soluble, et plus facilement assimilable par l'organisme (absorbable à 70%) du fait de sa liaison avec des acides aminés transporteurs. Il ne présente aucune toxicité ni ne provoque aucun effet secondaire et est compatible avec tout type de thérapie. Utilisable par voie interne comme externe (compresses, pulvérisations), son taux d'efficacité dépasse les 70% devant les douleurs articulaires, la plupart des affections dermatologiques, les brûlures ou les douleurs d'origines diverses (d'où son surnom aux Caraïbes de Pain killer, le tueur de douleurs).
Force est de reconnaître qu'avec le G5 original, nous avons maintenant près de 20 ans de recul et qu'aucun problème n'a jamais été signalé. Au contraire.

Où trouver le silicium G5 original
de Loïc Le Ribault ?

Depuis la mort de Le Ribault, et après de nombreuses disputes entre fabricants (la marque G5 fait l'objet d'une bataille intense, il y a au moins trois sociétés qui disent en être propriétaire), il règne une certaine confusion sur le marché.
Seuls deux des nombreux silicium organiques vendus aujourd'hui peuvent être considérés comme ayant été élaborés par Loïc Le Ribault lui-même : le silicium organique de la société irlandaise LLR G5 et celui de Silicium Espana.
  • Le G5 espagnol : C'est en Espagne de Loïc le Ribault que Loïc Le Ribault a terminé sa "cavale". La formule est donc de lui et, pour insister sur ce fait, la société Silicium Espana produit son G5 avec la signature de Loïc Le Ribault bien visible sur l'étiquette comme preuve de l'authenticité du produit.  Malheureusement, la formule du G5 vendue en Espagne contient un additif (le benzoate de sodium - E211). Cet additif est employé dans l'industrie alimentaire mais son usage est encadré. Les chimistes et les biologistes sont d'accord sur le fait que la toxicité dépend seulement de la concentration et beaucoup de produits à base de silicium contiennent une infime quantité de benzoate de sodium. Interrogé, le fabricant espagnol explique qu'aucun produit de ce genre ne peut se préserver sans danger avec un PH de 6,6 PPM sans aucun autre conservateur. Raison pour laquelle il serait impossible de supprimer toute présence de benzoate de sodium sans que cela n’affecte la formule originale du produit. Vous pouvez vous en procurer en Espagne ici
  • Le G5 Irlandais : Il ne faut pas oublier qu'avant de s'installer en Espagne, Loïc Le Ribault avait fondé (en 1999) en compagnie d'un de ses vieux amis, Luc Verardo, la société irlandaise LLR-G5 ltd. Celle-ci a vendu pendant des années son G5 selon les indications de Loïc Le Ribault avec son plein accord jusqu'à ce que celui-ci décide de s'expatrier en Espagne. La société irlandaise LLR-G5 commercialise donc un silicium organique totalement identique à la version originale, c'est à dire avec de l'ethylparaben et du methylparaben comme conservateur en bidon d'un litre. Toutefois elle est parvenue à produire le fameux G5 sans aucun conservateur (en bidon de 0,5 litres pour éviter une trop longue durée de conservation par les consommateurs). Et tant qu'à faire il vaut mieux choisir cette formule là même si les quantités de conservateurs employées chez les concurrents sont minimes. Vous en trouverez dans certaines boutiques bio et sur différents sites internet, notamment ici.
Le G5 est encore un produit coûteux mais sa capacité à rééquilibrer la santé humaine en profondeur relativise largement son prix. Comme sa meilleure disponibilité, qui en fait un produit de facto « économique » par rapport au silicium végétal. Personnellement, je peux vous dire que je n'ai testé le G5 que pour des douleurs lombaires persistantes. Je l'ai utilisé en compresses (la nuit) et j'en ai bu (1 cuillère à soupe au lever) et en trois jours, effectivement, celles-ci ont disparu et ne sont pas revenues ! Vous n'êtes pas obligés de me croire. Mais permettez moi, malgré tout ce que l'on peut penser de cette histoire, de rendre à Loïc Le Ribault - et à Norbert Duffaut - le mérite qui leur revient.

Pour en savoir plus, voir :
le film de Jean-Yves Bilien "Mandat d'arrêt contre un chercheur" (Satya Productions)
ou bien lire : 
"Le silicium organique de Loïc Le Ribault : G5, l'histoire vraie"  Editions Guy Trédaniel (2006).